Le virus identifié en Chine est un nouveau Coronavirus « humanisé ».
Il a été dénommé :
Le microbe n’est rien. Le terrain est tout.
Ce temps d’incubation est variable et peut aller dans la majorité des cas entre 3 et 5 jours, comme il peut durer dans des cas vraiment extrêmes ou exceptionnels de 12 à 14 jours (c’est ce qu’on voit actuellement avec le covid 19).
Ce temps que je viens d’écrire, ne représente que la première partie de la maladie.
4 à 5 jours après le temps d’incubation, (ce qui représente la deuxième partie de la maladie), les symptômes vont se déclenchés.
Cette deuxième partie de la maladie, dure en moyenne entre 10 à 12 jours.
Au bout de cette deuxième partie, la maladie pourra être disparue et la personne est guérie (malheureusement il n’existe aucun test pour prouver la guérison).
On note donc, que depuis la pénétration à la déclaration de la maladie, il s’est écoulé 30 jours.
Donc les confinements doivent s’étaler au-delà de 30 jours pour une meilleure prévention.
Si une personne héberge ce virus, cette personne ne va présenter aucun signe de la maladie.
Donc cette personne pendant cette phase qu’on appelle « incubation », va transmettre le virus à X personnes.
Ce X personnes, va transmettre à son tour ce virus à X autres personnes.
D’où la propagation de la contamination, de la maladie.
Heureusement que toutes les personnes qui ont été contaminées par ce virus ne vont pas développer la maladie.
Chez les personnes immunodéprimés et ayant des pathologies pulmonaires, cardiaques et autres, ce virus peut devenir dangereux si la prise en charge n’a pas été faites le plus rapidement possible.
Chez l’enfant ?
L’enfant reste un porteur sain du virus, de ce fait il peut transmettre le virus à son entourage.
Donc des précautions « plus sévères » doivent être prises au niveau de l’enfant.
Surtout si un doute persiste, ne pas laisser l’enfant en contact avec des personnes ayant des pathologies chroniques.
Une question devra cependant être posée : Pourquoi les enfants ne sont pas malades par ce coronavirus ?
D’après mon avis : ceux les différentes vaccinations et rappels qui font que l’enfant semble protégé contre le covid-19.
Personnellement je pense à la vaccination anti-rougeole et à la dernière épidémie de rougeole.
Reste à démontrer
Important :
Un étude chinoise, vient de démontrer que certains enfants peuvent tomber malade du coronavirus.
Donc prendre toutes les précautions pour éviter aux enfants d’être en contact avec covid19.
III – Les signes cliniques
Les signes cliniques les plus courants de la maladie sont
La voie la plus principale et la plus essentielle reste la voix aéroportée (nez, bouche).
Le virus va se transmettre par les gouttelettes de Pflügge.
Ce qu’il faut savoir :
Les gouttelettes de Pflügge peuvent voyager dans un endroit confiné jusqu’à 3 mètres après une toux ou un éternuement.
En extérieur, ces gouttelettes peuvent parcourir jusqu’à 10 mètres.
Tousser au creux du coude reste une mesure hypothétique, car si on se croise les bras, on aura transporté le virus sur ses mains.
La meilleure recommandation et celle de tousser ou éternuer dans des mouchoirs jetables ou dans des lingettes humides.
Important :
J’entends dire que les gouttelettes et les virus sont lourds et tombent rapidement sur le sol ?
Le problème n’est pas là, mais c’est la vitesse de leur expulsion qui les rendent contaminantes.
2 – Les yeux
J’ai lu quelque part qu’il peut y avoir une transmission par les yeux.
Aberration, car les larmes des yeux contiennent des lysozymes qui détruisent tant les bactéries, que les virus.
Néanmoins un port des lunettes de protection reste recommandé chez les personnes en contact direct avec des malades « confirmés ».
3 – Les mains
La grippe n’est pas une maladie des mains sales (comme le choléra, la dysenterie…).
Il reste cependant, que les mains peuvent être souillées par des virus, lors des différents contacts.
L’hygiène des mains reste un moyen de protection (on sait que le virus peut vivre pendant 3 heures et plus sur des objets souillés).
Je conseille d’utiliser des solutions hydro-alcooliques en vaporisateur en plus du lavage des mains classiques (eau et savon)
Quelques temps de survie du virus (donnés à titre d’information) – d’après une étude américaine et publiée dans le mardi 17 mars dans le New England Journal of Medecine
Les vêtements peuvent cachés ou abrités le virus, qui peut vivre entre environ 6 h à 12 h.
Pour les vêtements faciles à laver, ils le seront.
Pour les autres, soit les exposer au soleil, soit les asperger par des solutions liquides de produits désinfectants.
6 – Le téléphone portable
En cette période de pandémie, le téléphone portable est l’appareil le plus utilisé.
Il nous sert à demander des informations et prendre des nouvelles des personnes que nous connaissons (famille, amis…).
Il devra être nettoyé aussi souvent que possible, en tout cas avant de se laver ses mains.
Elles restent « hypothétiques », tant que les déplacements, les regroupements de personnes n’ont pas été régulés, voire interdits.
Les principales mesures barrières sont :
1.2 – Le lavage des mains
Je lis et j’entends qu’il faut se lave toutes les heures avec du savon et de l’eau.
Comment allons-nous trouver du savon, alors qu’on sait que l’eau est rationnée dans certaines régions, villes et quartiers.
Le lavage des mains reste une barrière contre les microbes, les virus et les parasites.
Néanmoins se laver les mains est un geste courant de bon sens.
Il serait aussi préférable d’utiliser des solutions en vaporisateur ou des lingettes spécialement fabriquées à cet effet.
1.3 – Les gels hydro alcooliques
Ils restent efficaces qu’au moment de leur utilisation.
Au-delà, aucune efficacité, d’où il faut renouveler leur utilisation.
Le meilleur moyen c’est que les autorités désinfectent les moyens de transports, les établissements administratifs….
1.4 – Les déodorants « alcooliques » et les parfums
D’après moi, seront utilisés comme moyens de prévention et destruction du virus.
1.5 – Mouchoirs jetables
Ils seront les seuls utilisés pour protéger les autres de votre éternuement ou de votre toux (même si les recommandations, disent « tousser dans le creux du coude).
2 – Point de place aux bonnes manières (bons gestes de l’amitié)
VI – Alimentation et aliments conseillés
1 – Une alimentation hivernale et à conseiller.
Cette alimentation doit-être riche en lipides, protéines et en micronutriments pour booster l’immunité.
Les lipoprotéines (sont des éléments essentiels dans l’immunité) et jouent donc un rôle contre les virus et plus particulièrement les virus grippaux.
Les lipoprotéines vont capter les virus, les stocker à l’intérieur des cellules et vont les détruire.
2 – Quels aliments à conseiller :
2.1 – L’ail
L’un des meilleurs antiseptiques et antibiotiques naturels.
Le consommer sous toutes ses formes, moi je le préfère avec de l’huile d’olives.
Une bonne salade de tomates assaisonnée avec de l’huile et de l’ail est un bon moyen de protection contre les microbes et les virus.
2.2 – Le piment fort (harissa)
Qu’on pourra retravailler en lui ajoutant de l’ail.
2.3 – Les œufs
À consommer sous toutes les formes :
En tisane, le soir en allant se coucher.
La meilleure épice pour se réchauffer.
On peut aussi le saupoudrer sur les aliments
2.6 – Le thym
À conseiller en prévision d’un rhume, d’une grippe.
Dans la toux, le thym reste efficace.
Le thym aide aussi à renforcer le système immunitaire.
Une à deux tasses par jour
Le thym pris en quantité excessive, peut fait augmenter la tension artérielle.
2.7 – Le romarin
Il reste un anti-infectieux pulmonaire assez intéressant.
Antifatigue
Il aide comme le thym à renforcer le système immunitaire.
Attention, il agit sur la circulation sanguine, donc à prendre des précautions quant à son utilisation (surtout chez la femme enceinte).
2.8 – Haricots secs et pois chiches
À consommer avec une bonne sauce rouge et bien pimentée.
Lui ajouter de l’ail, de l’huile d’olives, de l’oignon et la saupoudre de cannelle ou de gingembre.
2.9 – Les fruits et légumes verts
2.10 – Les fruits secs (cacahuètes, noix, pistaches…)
2.11 – Sardines à l’huile
2.12 – Les aliments riches en vitamines C et D
2.12.1 – Les principaux aliments riches en vitamines D sont :
Les sardines à l’huile – Le thon en boîte – Le chocolat noir – Le lait (et dérivés) – Les œufs – Les champignons –
2.12.2 – Les principaux aliments riches en vitamines C sont :
Poivron rouge, cru ou cuit -Poivron vert, cru ou cuit – Pois verts crus – Chou-fleur cuit – Cresson – Epinards – Persil
Les agrumes en fruits complets ou en jus – les fraises – Nectar d’abricots
Les céréales (au petit déjeuner)
3 – Supplémentation vitaminique
3.1 – La vitamine C
Reste une vitamine de prévention des maux de l’hiver.
Il serait conseillé de prendre les jus riches en vitamines C.
On pourra aussi prendre 1 comprimé de vitamine C, effervescente après le repas de midi.
3.2 – La vitamine D
Prescrite surtout pour les populations pauvres en soleil, mais reste aussi conseillée comme un supplément vitaminique.
La vitamine D, aurait semble-t-il une efficacité contre les infections virales.
Avoir sur soi des bonbons à la menthe, ou des bonbons vitaminés, car il serait préférable d’avoir la bouche mouillée, ce qui permettre dans le cas de la pénétration du virus, que ce dernier sera avaler directement au niveau de l’estomac ou il sera détruit par l’acidité gastrique.
Une bouche sèche, un nez sec sont favorables à la pénétration du virus au niveau des poumons.
2 – L’eau
Il reste aussi intéressant de prendre au courant de la journée et à l’extérieur de maison des gorgées d’eau.
L’abaisser sans connaissance, peut influencer la gravité de l’infection.
Donc il serait préférable de la surveillance que de s’amuser à l’abaisser de la façon la plus anarchique ?
Je parle dans le cas où, il a contamination.
Dans les autres cas, consulter votre médecin.
L’aspirine par exemple utilisée à petite dose comme antiagrégant, peut être remplacé par d’autres médicaments n’ayant aucun effet sur la gravité en cas d’infection ou de traitement.
On sait aussi que la personne diabétique est sensible à plusieurs autres pathologies ou complications du diabète, ce qui fait d’elle une personne à risque majoré.
En plus des mesures de prévention et protection la personne diabétique doit veiller à sa glycémie et d’éviter les fluctuations glycémiques.
On sait que les bactéries et les virus se développent mieux dans un milieu sucré.
Le port du masque est fortement conseillé chez la personne atteinte de diabète.
Il a été signalé à ce qu’un cas de transmission mère-enfant le 6 février 2020 à
Wuhan.
Heureusement qu’à ce jour, aucune complication spécifique à la grossesse n’a été rapportée, cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas une augmentation des risques pendant la grossesse.
Les risques probables sont :
Vu le bénéfice de l’allaitement, la mère peut continuer à allaiter son enfant, tout en observant et on ne cessera de le dire, les mesures de préventions et de précautions.
Le port du masque reste une mesure de protection essentielle.
Dans le cas où la mère est atteinte du covid 19, elle pourra recourir au tire-lait et continuer ainsi à l’allaiter par son lait.
XIII – Ce qu’il faut retenir
Le virus de la rougeole infecte les cellules immunitaires présentes au niveau des poumons, ce qui va lui permettre de se propager au niveau de l’organisme.
En quittant l’hôte, il va utiliser un autre récepteur, la nectine-4, présente au niveau de la trachée, ce qui va faciliter la contagion par voies aériennes.
Étude réalisée par l’unité Inserm 891 (Centre de recherche en cancérologie de Marseille).
Si covid-19 suit ce même processus, on pourra alors vacciner et revacciner avec le vaccin anti-rougeoleux. ?
Toutes les bonnes idées sont à considérer et à suivre, qui sait.
2 – Au sujet du confinement ?
Les confinements qui se font actuellement, sont insuffisants pour maîtriser la propagation de la maladie.
Ces mesures dites de mitigations (le confinement qui se fait actuellement), sont insuffisantes et ne servent qu’à diminuer la capacité du virus de sauter d’un individu à l’autre (la distanciation sociale).
Les durées du confinement préconisées actuellement restent insuffisantes et ne peuvent en aucun cas arrêter la propagation du virus.
Car il peut y avoir une deuxième ou troisième vague de contamination.
Je pense qu’un confinement de 35 jours minimum est conseillé.
Le meilleur reste un confinement de 40 jours (la quarantaine), mais qui sera appliqué à toute la planète et ce afin de couper court à toute interaction humaine.
Seuls seront autorisés à se mouvoir les personnels d’intérêt général garantissant une vie normale (personnel de santé, électricité eau, gaz, pharmacies, les magasins d’alimentation générale….).
Important :
Si on reste dans le confinement qui se fait actuellement, on risque d’avoir cette crise qui va durer plusieurs mois…..
3 – Au sujet du traitement qui porte débat ?
Les chinois ont utilisé la chloroquine pour traiter une certaine partie des malades et parlent d’effets positifs ?
Pourquoi alors ne l’avoir utilisée pour tous les malades ? Question qui est restée sans réponse à ce jour.
La chloroquine est une molécule de synthèse.
Son vrai nom est : “hydroxychloroquine”.
Cette molécule est faite à partir du chlore et de la quinine, qu’on associe à un groupement alcool.
À 2 g par jour la chloroquine est un poison.
Le traitement qui est préconisé, sans citer le ou les noms des initiateurs est une association de chloroquine et de l’azithromycine.
Pourquoi la chloroquine et l’azithromycine ?
– La chloroquine a déjà montrée son efficacité à inhiber la réplication du virus SARS-CoV-2, mais dans des expériences invit (in vitro).
Elle a aussi montré son efficacité sur plusieurs virus, mais toujours en invit (in vitro).
La chloroquine dans le traitement covid-19 n’a pour objectif que d’abaisser la charge virale (ce qui n’est pas déjà mal).
– L’azithromycine, est un antibiotique utilisé dans les infections des voies respiratoires..
Pour tous les patients présentant une forme modérée une forme avec pneumonie et /ou une forme sévère suspecte d’une infection COVID-19 ne nécessitant pas l’admission en réanimation. il sera prescrit en l’absence de contre- indications et sous surveillance médicale.
1ère intention
2ème intention
Lopinavir / ritonavir (Comprimé 200/50 mg) a raison de 2cp 2 fois par jour en respectant les régies d’utilisation et ce pendant 5 à 7 jours
Ou
Atazanavir 300 mg/jour pendant 2 semaines
Surveillance toutes les 4 à 6 heures (transcription sur une fiche de surveillance des éléments de surveillance) état clinique température fréquences cardiaque et respiratoire pression artérielle SPO2 si des facteurs de risque sont présent l’âge avancé .pathologie chronique sous-jacentes, Grossesse).
L’évolution vers un cas critique peut survenir.
l’hydroxychloroquine ne peut être efficace qu’avec un antibiotique.
Pour rappel
Il existe 10 virus qui sont impliqués dans les infections respiratoires qui elles entraînent plus de 2.5 millions de décès par ans.
Protéger les autres, c’est vous protégez vous-mêmes,
Pr. Salim Djelouat
Pr. en analyses médicales et Bioclinicien
Expert médicale certifié en médecine, santé et bien-être
Psychothérapeute
Auteur scientifique
Webmaster et blogueur
Il a été dénommé :
- 2019-nCoV
- SARS Cov 2
- Coronavirus de Wuhan
- COVID-19 (pour Corona Virus Disease 2019).
Le microbe n’est rien. Le terrain est tout.
Louis Pasteur
Sommaire
I – Du temps d’incubation à la maladie (1 mois)
II – Au sujet de sa propagation ?
Chez l’enfant ?
III – Les signes cliniques
IV – Au sujet de sa transmission (directe et indirecte)
1 – La voix aéroportée
2 – Les yeux
3 – Les mains
4 – Les vêtements
V – Les moyens de prévention
1 – Les mesures dites « barrières »
1.1 – Le lavage des mains
1.2 – Les gels hydro alcooliques
1.3 – Les déodorants « alcooliques » et les parfums
1.4 – Mouchoirs jetables
2 – Point de place aux bonnes manières (bons gestes de l’amitié)
VI – Alimentation et aliments conseillés
1 – Une alimentation hivernale et à conseiller.
2 – Quels aliments à conseiller
2.1 – L’ail –
2.2 – Le piment fort (harissa)
2.3 – Les œufs
2.4 – Le beurre –
2.5 – Le gingembre –
2.6 – Le thym –
2.7 – Le romarin –
2.8 – Haricots secs et pois chiches –
2.9 – Les fruits et légumes verts
2.10 – Les fruits secs (cacahuètes, noix, pistaches…)
2.11 – Sardines à l’huile
2.12 – Les aliments riches en vitamines C et D
2.12.1 – Les principaux aliments riches en vitamines D
2.12.2 – Les principaux aliments riches en vitamines C
3 – Supplémentation vitaminique
3.1 – La vitamine C
3.2 – La vitamine D
VII – Autres mesures
1 – Bonbons –
2 – L’eau –
VIII – En ce qui concerne la fièvre ??
IX – En ce qui concerne la prise de médicaments en cas de pathologies chroniques ?
X – COVID 19 et diabète
XI – COVID 19 – grossesse et allaitement maternel
1 – Grossesse
1.1 – Bon à connaitre
1.2 – Pour quelles mesures de prévention ?
2 – L’allaitement
XII – COVID 19 – Et les asthmatiques
XIII – Ce qu’il faut retenir
Parenthèses !!!
1 – Pourquoi j’ai parlé d’une similitude probable du virus de la rougeole ?
2 – Au sujet du confinement ?
3 – Au sujet du traitement qui porte débat ?
Pourquoi la chloroquine et l’azithromycine ?
II – Au sujet de sa propagation ?
Chez l’enfant ?
III – Les signes cliniques
IV – Au sujet de sa transmission (directe et indirecte)
1 – La voix aéroportée
2 – Les yeux
3 – Les mains
4 – Les vêtements
V – Les moyens de prévention
1 – Les mesures dites « barrières »
1.1 – Le lavage des mains
1.2 – Les gels hydro alcooliques
1.3 – Les déodorants « alcooliques » et les parfums
1.4 – Mouchoirs jetables
2 – Point de place aux bonnes manières (bons gestes de l’amitié)
VI – Alimentation et aliments conseillés
1 – Une alimentation hivernale et à conseiller.
2 – Quels aliments à conseiller
2.1 – L’ail –
2.2 – Le piment fort (harissa)
2.3 – Les œufs
2.4 – Le beurre –
2.5 – Le gingembre –
2.6 – Le thym –
2.7 – Le romarin –
2.8 – Haricots secs et pois chiches –
2.9 – Les fruits et légumes verts
2.10 – Les fruits secs (cacahuètes, noix, pistaches…)
2.11 – Sardines à l’huile
2.12 – Les aliments riches en vitamines C et D
2.12.1 – Les principaux aliments riches en vitamines D
2.12.2 – Les principaux aliments riches en vitamines C
3 – Supplémentation vitaminique
3.1 – La vitamine C
3.2 – La vitamine D
VII – Autres mesures
1 – Bonbons –
2 – L’eau –
VIII – En ce qui concerne la fièvre ??
IX – En ce qui concerne la prise de médicaments en cas de pathologies chroniques ?
X – COVID 19 et diabète
XI – COVID 19 – grossesse et allaitement maternel
1 – Grossesse
1.1 – Bon à connaitre
1.2 – Pour quelles mesures de prévention ?
2 – L’allaitement
XII – COVID 19 – Et les asthmatiques
XIII – Ce qu’il faut retenir
Parenthèses !!!
1 – Pourquoi j’ai parlé d’une similitude probable du virus de la rougeole ?
2 – Au sujet du confinement ?
3 – Au sujet du traitement qui porte débat ?
Pourquoi la chloroquine et l’azithromycine ?
I – Du temps d’incubation à la maladie (1 mois)
C’est le temps ou la durée entre l’exposition (contamination) par le virus jusqu’à la manifestation des premiers signes (ou symptômes) de la maladie.Ce temps d’incubation est variable et peut aller dans la majorité des cas entre 3 et 5 jours, comme il peut durer dans des cas vraiment extrêmes ou exceptionnels de 12 à 14 jours (c’est ce qu’on voit actuellement avec le covid 19).
Ce temps que je viens d’écrire, ne représente que la première partie de la maladie.
4 à 5 jours après le temps d’incubation, (ce qui représente la deuxième partie de la maladie), les symptômes vont se déclenchés.
Cette deuxième partie de la maladie, dure en moyenne entre 10 à 12 jours.
Au bout de cette deuxième partie, la maladie pourra être disparue et la personne est guérie (malheureusement il n’existe aucun test pour prouver la guérison).
On note donc, que depuis la pénétration à la déclaration de la maladie, il s’est écoulé 30 jours.
Donc les confinements doivent s’étaler au-delà de 30 jours pour une meilleure prévention.
II – Au sujet de sa propagation ?
Ce qu’il faut savoir, c’est que ce virus se propage d’une personne n’ayant aucun signe de la maladie à d’autres personnes et ce contrairement aux autres virus « grippaux ».
Explication :Ce qu’il faut savoir, c’est que ce virus se propage d’une personne n’ayant aucun signe de la maladie à d’autres personnes et ce contrairement aux autres virus « grippaux ».
Si une personne héberge ce virus, cette personne ne va présenter aucun signe de la maladie.
Donc cette personne pendant cette phase qu’on appelle « incubation », va transmettre le virus à X personnes.
Ce X personnes, va transmettre à son tour ce virus à X autres personnes.
D’où la propagation de la contamination, de la maladie.
Heureusement que toutes les personnes qui ont été contaminées par ce virus ne vont pas développer la maladie.
Chez les personnes immunodéprimés et ayant des pathologies pulmonaires, cardiaques et autres, ce virus peut devenir dangereux si la prise en charge n’a pas été faites le plus rapidement possible.
Chez l’enfant ?
L’enfant reste un porteur sain du virus, de ce fait il peut transmettre le virus à son entourage.
Donc des précautions « plus sévères » doivent être prises au niveau de l’enfant.
Surtout si un doute persiste, ne pas laisser l’enfant en contact avec des personnes ayant des pathologies chroniques.
Une question devra cependant être posée : Pourquoi les enfants ne sont pas malades par ce coronavirus ?
D’après mon avis : ceux les différentes vaccinations et rappels qui font que l’enfant semble protégé contre le covid-19.
Personnellement je pense à la vaccination anti-rougeole et à la dernière épidémie de rougeole.
Reste à démontrer
Important :
Un étude chinoise, vient de démontrer que certains enfants peuvent tomber malade du coronavirus.
Donc prendre toutes les précautions pour éviter aux enfants d’être en contact avec covid19.
III – Les signes cliniques
Les signes cliniques les plus courants de la maladie sont
- Une fièvre supérieure à 38 °C
- Une toux
- Frissons
- Céphalées
- Une fatigue inhabituelle
- Une myalgie
- Dyspnée
- Pneumonie bilatérale
- Dans les cas graves, la mort (malheureusement)
À connaitre :
Sur la plus importante enquête menée en Chine depuis le début de l’épidémie, il en ressort que la maladie est :- Bénigne dans 80,9% des cas
- Grave dans 13,8% des cas
- Critique dans 4,7% des cas
IV – Au sujet de sa transmission (directe et indirecte)
1 – La voix aéroportéeLa voie la plus principale et la plus essentielle reste la voix aéroportée (nez, bouche).
Le virus va se transmettre par les gouttelettes de Pflügge.
Ce qu’il faut savoir :
Les gouttelettes de Pflügge peuvent voyager dans un endroit confiné jusqu’à 3 mètres après une toux ou un éternuement.
En extérieur, ces gouttelettes peuvent parcourir jusqu’à 10 mètres.
Tousser au creux du coude reste une mesure hypothétique, car si on se croise les bras, on aura transporté le virus sur ses mains.
La meilleure recommandation et celle de tousser ou éternuer dans des mouchoirs jetables ou dans des lingettes humides.
Important :
J’entends dire que les gouttelettes et les virus sont lourds et tombent rapidement sur le sol ?
Le problème n’est pas là, mais c’est la vitesse de leur expulsion qui les rendent contaminantes.
2 – Les yeux
J’ai lu quelque part qu’il peut y avoir une transmission par les yeux.
Aberration, car les larmes des yeux contiennent des lysozymes qui détruisent tant les bactéries, que les virus.
Néanmoins un port des lunettes de protection reste recommandé chez les personnes en contact direct avec des malades « confirmés ».
3 – Les mains
La grippe n’est pas une maladie des mains sales (comme le choléra, la dysenterie…).
Il reste cependant, que les mains peuvent être souillées par des virus, lors des différents contacts.
L’hygiène des mains reste un moyen de protection (on sait que le virus peut vivre pendant 3 heures et plus sur des objets souillés).
Je conseille d’utiliser des solutions hydro-alcooliques en vaporisateur en plus du lavage des mains classiques (eau et savon)
Quelques temps de survie du virus (donnés à titre d’information) – d’après une étude américaine et publiée dans le mardi 17 mars dans le New England Journal of Medecine
- 24 h 00 sur du carton
- 4 h 00 sur du cuivre
- 3 jours sur du plastique
- 2 jours sur de l’acier inoxydable
4 – Le visage
Le visage reste une partie qui peut être contaminée, soit par les gouttes de Pflügge soit par les mains souillées.
Là aussi, il faut se laver le visage et l’essuyer avec des lingettes spécialement fabriquées.
5 – Les vêtements Le visage reste une partie qui peut être contaminée, soit par les gouttes de Pflügge soit par les mains souillées.
Là aussi, il faut se laver le visage et l’essuyer avec des lingettes spécialement fabriquées.
Les vêtements peuvent cachés ou abrités le virus, qui peut vivre entre environ 6 h à 12 h.
Pour les vêtements faciles à laver, ils le seront.
Pour les autres, soit les exposer au soleil, soit les asperger par des solutions liquides de produits désinfectants.
6 – Le téléphone portable
En cette période de pandémie, le téléphone portable est l’appareil le plus utilisé.
Il nous sert à demander des informations et prendre des nouvelles des personnes que nous connaissons (famille, amis…).
Il devra être nettoyé aussi souvent que possible, en tout cas avant de se laver ses mains.
V – Les moyens de prévention
1 – Les mesures dites « barrières »Elles restent « hypothétiques », tant que les déplacements, les regroupements de personnes n’ont pas été régulés, voire interdits.
Les principales mesures barrières sont :
1.2 – Le lavage des mains
Je lis et j’entends qu’il faut se lave toutes les heures avec du savon et de l’eau.
Comment allons-nous trouver du savon, alors qu’on sait que l’eau est rationnée dans certaines régions, villes et quartiers.
Le lavage des mains reste une barrière contre les microbes, les virus et les parasites.
Néanmoins se laver les mains est un geste courant de bon sens.
Il serait aussi préférable d’utiliser des solutions en vaporisateur ou des lingettes spécialement fabriquées à cet effet.
1.3 – Les gels hydro alcooliques
Ils restent efficaces qu’au moment de leur utilisation.
Au-delà, aucune efficacité, d’où il faut renouveler leur utilisation.
Le meilleur moyen c’est que les autorités désinfectent les moyens de transports, les établissements administratifs….
1.4 – Les déodorants « alcooliques » et les parfums
D’après moi, seront utilisés comme moyens de prévention et destruction du virus.
1.5 – Mouchoirs jetables
Ils seront les seuls utilisés pour protéger les autres de votre éternuement ou de votre toux (même si les recommandations, disent « tousser dans le creux du coude).
2 – Point de place aux bonnes manières (bons gestes de l’amitié)
- Ne pas serrer les mains
- Eviter les embrassades
- Se tenir à une distance assez respectable (1 mètre sans symptomatologie)
VI – Alimentation et aliments conseillés
1 – Une alimentation hivernale et à conseiller.
Cette alimentation doit-être riche en lipides, protéines et en micronutriments pour booster l’immunité.
Les lipoprotéines (sont des éléments essentiels dans l’immunité) et jouent donc un rôle contre les virus et plus particulièrement les virus grippaux.
Les lipoprotéines vont capter les virus, les stocker à l’intérieur des cellules et vont les détruire.
2 – Quels aliments à conseiller :
2.1 – L’ail
L’un des meilleurs antiseptiques et antibiotiques naturels.
Le consommer sous toutes ses formes, moi je le préfère avec de l’huile d’olives.
Une bonne salade de tomates assaisonnée avec de l’huile et de l’ail est un bon moyen de protection contre les microbes et les virus.
2.2 – Le piment fort (harissa)
Qu’on pourra retravailler en lui ajoutant de l’ail.
2.3 – Les œufs
À consommer sous toutes les formes :
- En omelette nature
- Brouillées avec du beurre
- Crus ou cuits (œufs durs)
2.4 – Le beurre
En tartines beurrées de préférence, surtout au petit déjeuner.
2.5 – Le gingembre En tartines beurrées de préférence, surtout au petit déjeuner.
En tisane, le soir en allant se coucher.
La meilleure épice pour se réchauffer.
On peut aussi le saupoudrer sur les aliments
2.6 – Le thym
À conseiller en prévision d’un rhume, d’une grippe.
Dans la toux, le thym reste efficace.
Le thym aide aussi à renforcer le système immunitaire.
Une à deux tasses par jour
Le thym pris en quantité excessive, peut fait augmenter la tension artérielle.
2.7 – Le romarin
Il reste un anti-infectieux pulmonaire assez intéressant.
Antifatigue
Il aide comme le thym à renforcer le système immunitaire.
Attention, il agit sur la circulation sanguine, donc à prendre des précautions quant à son utilisation (surtout chez la femme enceinte).
2.8 – Haricots secs et pois chiches
À consommer avec une bonne sauce rouge et bien pimentée.
Lui ajouter de l’ail, de l’huile d’olives, de l’oignon et la saupoudre de cannelle ou de gingembre.
2.9 – Les fruits et légumes verts
2.10 – Les fruits secs (cacahuètes, noix, pistaches…)
2.11 – Sardines à l’huile
2.12 – Les aliments riches en vitamines C et D
2.12.1 – Les principaux aliments riches en vitamines D sont :
Les sardines à l’huile – Le thon en boîte – Le chocolat noir – Le lait (et dérivés) – Les œufs – Les champignons –
2.12.2 – Les principaux aliments riches en vitamines C sont :
Poivron rouge, cru ou cuit -Poivron vert, cru ou cuit – Pois verts crus – Chou-fleur cuit – Cresson – Epinards – Persil
Les agrumes en fruits complets ou en jus – les fraises – Nectar d’abricots
Les céréales (au petit déjeuner)
3 – Supplémentation vitaminique
3.1 – La vitamine C
Reste une vitamine de prévention des maux de l’hiver.
Il serait conseillé de prendre les jus riches en vitamines C.
On pourra aussi prendre 1 comprimé de vitamine C, effervescente après le repas de midi.
3.2 – La vitamine D
Prescrite surtout pour les populations pauvres en soleil, mais reste aussi conseillée comme un supplément vitaminique.
La vitamine D, aurait semble-t-il une efficacité contre les infections virales.
VII – Autres mesures
1 – Bonbons Avoir sur soi des bonbons à la menthe, ou des bonbons vitaminés, car il serait préférable d’avoir la bouche mouillée, ce qui permettre dans le cas de la pénétration du virus, que ce dernier sera avaler directement au niveau de l’estomac ou il sera détruit par l’acidité gastrique.
Une bouche sèche, un nez sec sont favorables à la pénétration du virus au niveau des poumons.
2 – L’eau
Il reste aussi intéressant de prendre au courant de la journée et à l’extérieur de maison des gorgées d’eau.
VIII – En ce qui concerne la fièvre ??
La fièvre est un moyen de lutte (contre l’envahisseur) qu’utilise le corps humain pour se défendre.L’abaisser sans connaissance, peut influencer la gravité de l’infection.
Donc il serait préférable de la surveillance que de s’amuser à l’abaisser de la façon la plus anarchique ?
Je parle dans le cas où, il a contamination.
Dans les autres cas, consulter votre médecin.
IX – En ce qui concerne la prise de médicaments en cas de pathologies chroniques ?
A discuter avec son médecin traitant, car certains médicaments peuvent influencer le degré de la gravité de l’infection à coronavirus.L’aspirine par exemple utilisée à petite dose comme antiagrégant, peut être remplacé par d’autres médicaments n’ayant aucun effet sur la gravité en cas d’infection ou de traitement.
X – COVID 19 et diabète
Il est malheureux de le dire, mais la personne diabétique doit s’attendre à être contaminée, si elle ne prend pas toutes les mesures de prévention citées plus haut.On sait aussi que la personne diabétique est sensible à plusieurs autres pathologies ou complications du diabète, ce qui fait d’elle une personne à risque majoré.
En plus des mesures de prévention et protection la personne diabétique doit veiller à sa glycémie et d’éviter les fluctuations glycémiques.
On sait que les bactéries et les virus se développent mieux dans un milieu sucré.
Le port du masque est fortement conseillé chez la personne atteinte de diabète.
XI – COVID 19 – grossesse et allaitement maternel
1 – GrossesseLa grossesse entraîne chez la femme un changement de son potentiel immunitaire, ce qui peut la rendre fragile aux infections et plus spécialement aux infections virales.Il a été signalé à ce qu’un cas de transmission mère-enfant le 6 février 2020 à
Wuhan.
Heureusement qu’à ce jour, aucune complication spécifique à la grossesse n’a été rapportée, cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas une augmentation des risques pendant la grossesse.
Les risques probables sont :
- Fausses couches spontanées
- Retard de croissance intra-utérin
- Accouchement prématuré
- Décès maternel
- Décès néonatal
1.1 – Bon à connaitre
Il semble qu’il n’y a pas de transmission par voie trans-placentaire, mais plutôt par voie périnatale, soit pendant ou après l’accouchement.
Des études sont en cours pour mieux cerner et prévenir.
1.2 – Pour quelles mesures de prévention ?
Les mesures de prévention citées plus haut, doivent être respectées.
La femme enceinte ne doit pas se mélanger à la foule et doit rester à l’écart.
Le port du masque reste obligatoire.
Bien entendu la femme enceinte doit respecter son calendrier de suivi de la grossesse.
2 – L’allaitementIl semble qu’il n’y a pas de transmission par voie trans-placentaire, mais plutôt par voie périnatale, soit pendant ou après l’accouchement.
Des études sont en cours pour mieux cerner et prévenir.
1.2 – Pour quelles mesures de prévention ?
Les mesures de prévention citées plus haut, doivent être respectées.
La femme enceinte ne doit pas se mélanger à la foule et doit rester à l’écart.
Le port du masque reste obligatoire.
Bien entendu la femme enceinte doit respecter son calendrier de suivi de la grossesse.
Vu le bénéfice de l’allaitement, la mère peut continuer à allaiter son enfant, tout en observant et on ne cessera de le dire, les mesures de préventions et de précautions.
Le port du masque reste une mesure de protection essentielle.
Dans le cas où la mère est atteinte du covid 19, elle pourra recourir au tire-lait et continuer ainsi à l’allaiter par son lait.
XII – COVID 19 – Et les asthmatiques
Les personnes asthmatiques ne doivent pas arrêter leur traitement (afin de maintenir un bon contrôle des symptômes).
Un bon contrôle des symptômes limite les risques de présenter une poussée inflammatoire d’asthme en cas d’infection virale.
Il ne faut surtout pas arrêter la corticothérapie inhalée.
En ce qui concerne les corticoïdes par voie générale, suivre les conseils de son médecin, lui seul jugera quelle dose sera adaptée.
La personne asthmatique, comme toutes les personnes ayant des maladies chroniques, doit bien veiller à ne se contaminer et doit appliquer les gestes barrières que nous avons cités plus haut.
Les personnes asthmatiques ne doivent pas arrêter leur traitement (afin de maintenir un bon contrôle des symptômes).
Un bon contrôle des symptômes limite les risques de présenter une poussée inflammatoire d’asthme en cas d’infection virale.
Il ne faut surtout pas arrêter la corticothérapie inhalée.
En ce qui concerne les corticoïdes par voie générale, suivre les conseils de son médecin, lui seul jugera quelle dose sera adaptée.
La personne asthmatique, comme toutes les personnes ayant des maladies chroniques, doit bien veiller à ne se contaminer et doit appliquer les gestes barrières que nous avons cités plus haut.
XIII – Ce qu’il faut retenir
- Eviter tout rassemblement, respecter les consignes de prévention.
- Les sorties et les déplacements doivent être limités et autorisés que pour le strict minimum.
- Prenez une alimentation assez riche en lipoprotéines.
- Booster votre immunité.
- Soyez respectueux des autres
- Éternuez ou tousser dans des mouchoirs jetables
- Prendre au courant de la journée que des boissons chaudes, car on sait que les virus grippaux sont très sensible à la chaleur
- Dans le cas d’un temps ensoleillé, il faut s’exposer aux rayons solaires (efficace contre les virus)
Parenthèses !!!
1 – Pourquoi j’ai parlé d’une similitude probable du virus de la rougeole ? Le virus de la rougeole infecte les cellules immunitaires présentes au niveau des poumons, ce qui va lui permettre de se propager au niveau de l’organisme.
En quittant l’hôte, il va utiliser un autre récepteur, la nectine-4, présente au niveau de la trachée, ce qui va faciliter la contagion par voies aériennes.
Étude réalisée par l’unité Inserm 891 (Centre de recherche en cancérologie de Marseille).
Si covid-19 suit ce même processus, on pourra alors vacciner et revacciner avec le vaccin anti-rougeoleux. ?
Toutes les bonnes idées sont à considérer et à suivre, qui sait.
2 – Au sujet du confinement ?
Les confinements qui se font actuellement, sont insuffisants pour maîtriser la propagation de la maladie.
Ces mesures dites de mitigations (le confinement qui se fait actuellement), sont insuffisantes et ne servent qu’à diminuer la capacité du virus de sauter d’un individu à l’autre (la distanciation sociale).
Les durées du confinement préconisées actuellement restent insuffisantes et ne peuvent en aucun cas arrêter la propagation du virus.
Car il peut y avoir une deuxième ou troisième vague de contamination.
Je pense qu’un confinement de 35 jours minimum est conseillé.
Le meilleur reste un confinement de 40 jours (la quarantaine), mais qui sera appliqué à toute la planète et ce afin de couper court à toute interaction humaine.
Seuls seront autorisés à se mouvoir les personnels d’intérêt général garantissant une vie normale (personnel de santé, électricité eau, gaz, pharmacies, les magasins d’alimentation générale….).
Important :
Si on reste dans le confinement qui se fait actuellement, on risque d’avoir cette crise qui va durer plusieurs mois…..
3 – Au sujet du traitement qui porte débat ?
Les chinois ont utilisé la chloroquine pour traiter une certaine partie des malades et parlent d’effets positifs ?
Pourquoi alors ne l’avoir utilisée pour tous les malades ? Question qui est restée sans réponse à ce jour.
La chloroquine est une molécule de synthèse.
Son vrai nom est : “hydroxychloroquine”.
Cette molécule est faite à partir du chlore et de la quinine, qu’on associe à un groupement alcool.
À 2 g par jour la chloroquine est un poison.
Le traitement qui est préconisé, sans citer le ou les noms des initiateurs est une association de chloroquine et de l’azithromycine.
Pourquoi la chloroquine et l’azithromycine ?
– La chloroquine a déjà montrée son efficacité à inhiber la réplication du virus SARS-CoV-2, mais dans des expériences invit (in vitro).
Elle a aussi montré son efficacité sur plusieurs virus, mais toujours en invit (in vitro).
La chloroquine dans le traitement covid-19 n’a pour objectif que d’abaisser la charge virale (ce qui n’est pas déjà mal).
– L’azithromycine, est un antibiotique utilisé dans les infections des voies respiratoires..
Protocole algérien (défini par le ministère de la santé)
dans la prise en charge pour le traitement à la chloroquine :
dans la prise en charge pour le traitement à la chloroquine :
Pour tous les patients présentant une forme modérée une forme avec pneumonie et /ou une forme sévère suspecte d’une infection COVID-19 ne nécessitant pas l’admission en réanimation. il sera prescrit en l’absence de contre- indications et sous surveillance médicale.
1ère intention
- Chloroquine à raison de 500 mg 2 fois par jour pendant 5 à 7 jours
- Hydroxychloroquine à raison de 200 mg 3 fois par jour pendant 10 jours
2ème intention
Lopinavir / ritonavir (Comprimé 200/50 mg) a raison de 2cp 2 fois par jour en respectant les régies d’utilisation et ce pendant 5 à 7 jours
Ou
Atazanavir 300 mg/jour pendant 2 semaines
Surveillance toutes les 4 à 6 heures (transcription sur une fiche de surveillance des éléments de surveillance) état clinique température fréquences cardiaque et respiratoire pression artérielle SPO2 si des facteurs de risque sont présent l’âge avancé .pathologie chronique sous-jacentes, Grossesse).
L’évolution vers un cas critique peut survenir.
Important :
D’après les travaux du professeur Didier Raoult,l’hydroxychloroquine ne peut être efficace qu’avec un antibiotique.
Pour rappel
Il existe 10 virus qui sont impliqués dans les infections respiratoires qui elles entraînent plus de 2.5 millions de décès par ans.
Protéger les autres, c’est vous protégez vous-mêmes,
par le respect des consignes.
Pr. Salim Djelouat
Pr. en analyses médicales et Bioclinicien
Expert médicale certifié en médecine, santé et bien-être
Psychothérapeute
Auteur scientifique
Webmaster et blogueur
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