Translate

mardi 12 mai 2020

SARS-CoV-2 vs 1er - 2ème et 3ème Vagues - Point de vue

SARS-CoV-2 vs 1er  2èmeet 3ème Vagues

Point de vue








Pr. Salim Djelouat
Expert médicale certifié en médecine, santé et bien-être


SOMMAIRE

I  – Connaitre les différentes vagues d’une épidémie
II  – Pour mémoire
III – Recommandation
IV – Vague épidémique vs vague épidémique ?
V – Les pandémies du XXème  siècle
VI – Pourquoi je fais cette comparaison entre la  grippe dite espagnole et covid-19
VII – La chloroquine vs covid-19
VIII –  La prophylaxie collective et individuelle ou les gestes barrières
IX – Conclusion – Point de vue
X – Quelques liens pour mieux approfondir le sujet
XI – Quelques lectures conseillées

Tant que le virus circule, les contaminations et re-contaminations existeront.
Certes le virus  est entrain de perde de sa virulence, ce qui reste un bon signe,  car nous allons passer à la 3ème vague de l’épidémie et non à la 2ème vague.

I  – Connaitre les différentes vagues d’une épidémie

 Je vais m’expliquer sur cette 3ème  vague :
1ère vague
Si on se  re-mémorise bien, vers les mois d’Octobre/Décembre 2019, nous avons eu pratiquement tous (pour le plus grand nombre de la population) une très forte grippe.
Une pandémie de grippe saisonnière a touché pratiquement toute la population du monde.
Personnellement je n’ai jamais été grippé, et à cette période j’ai dû être alité pendant  4 jours.
Certaines personnes de ma connaissance sont restées 10 jours, voire plus au lit (surtout les personnes ayant des maladies chroniques).
La symptomatologie est pratiquement identique à celle du covid-19 :
  • Maux au niveau de la gorge
  • Toux sèche handicapantes et par saccades assez longue dans la durée
  • Éternuements
  • Difficultés à la respiration
  • Écoulement nasal
  • Fièvre élevée
  • Courbature…
Le traitement  qui a été institué (par des médecins d’ancienne génération) reposée sur :
  • Sur CS3G ou de L’azithromycine (zythromax)
    Le zythromax a été le plus prescrit car il répondait le mieux aux infections respiratoire.
  • Du paracétamol
  • Un anti-inflammatoire
  • Des tisanes
  • Repos au lit
Ce traitement a donné de très bons résultats, c’est vrai que chez certaines personnes on a re-prescrit le zythromax pour une autre cure.
Une pandémie qui n’a pas dit son nom, qui n’a pas fait grand bruit, qui est passée comme une grippe saisonnière et surtout que le nombre de décès n’a pas été comptabilisé.
Pour moi, il n’existe plus aucun doute que c’est la première vague de l’épidémie qui vient d’être attribué au covid-19.
Ce schéma est identique à la première vague de la grippe dite espagnole.

2ème vague
Aux mois de décembre 2019/janvier 2020, on vient de subir la deuxième vague très virulente de cette grippe attribuée au SARS-CoV-2 (covid-19).
Le virus a subit une mutation (transformation), on parle d’un animal vers l’homme, moi je pense d’une transformation interhumaine, qui lui a donné cette virulence et contamination particulières, rappelant le virus de la grippe dite espagnole (virus H1N1).
On note jusqu’à l’écriture de cet article (7 mois), que le nombre de décès reste modéré, comparé à celui de la grippe espagnole qui en  12 mois à tuer plus de 50 millions de personnes (d’autres chiffres parlent de 100 millions).

3ème vague
On va s’attendre à une troisième vague, qui pourra arriver  d’ici 3 voire 4 mois, mais elle sera moins virulente et annoncera la fin de la pandémie.

II  – Pour mémoire 

Le schéma (de vagues) que je viens de décrire est identique au schéma de la grippe dite espagnole.
La grippe dite espagnole s’est déployée en trois vagues :
  • Une première, modérée, qui ressemblait à une grippe saisonnière
  • Une deuxième qui est apparue entre la mi-septembre à la mi-décembre 1979.
Cette deuxième vague est très virulente et entraîné le décès de  plus de 50 millions  de personnes.
  • Une troisième vague moins virulente est survenue entre février et mars 1919
La plupart des décès ont eu lieu pendant la deuxième vague de la grippe dite espagnole.
La grippe dite espagnole est due à une souche très virulente, du   virus (H1N1),
Qui dit virulence dit très contagieuse.
Pourquoi elle a entraîné autant de morts, car c’était la guerre et les soldats par leurs déplacements d’un endroit à un autre,  ont été les transmetteurs du virus.
Ce virus a rencontré des populations très affaiblies, très stressées, et dans la résistance immunitaire était faible, n’ont pu lutter contre l’infection.
Pasteur l’a si bien dit : le microbe n’est rien, tout est lié au terrain 

III – Recommandation

Au courant de la première vague que j’ai décrit plus haut, certaines personnes contaminées ont développées une immunité « adaptive » au virus.
Ces personnes « vont » être immunisées contre la deuxième vague (cela ne veut pas dire, qu’elles ne vont pas s’amuser à s’exposer au virus).
Il serait intéressant de rechercher les anticorps chez toutes les personnes qui ont fait la grippe avant l’apparition du covid-19.

IVVague épidémique vs vague épidémique ?

 Deux possibilités seront envisagées pour subir la 3ème vague* :
1 – Cette troisième vague peut ne pas survenir dans les pays qui ont subi la deuxième vague (très virulente) ou son résurgence dans ces pays restera exceptionnelle.
2 – Les pays qui n’ont pas été affectés ou peu affectés par la deuxième vague, doivent prendre toutes les mesures afin d’éviter cette troisième, qui ne sera pas aussi virulente que la deuxième vague, mais pourra infectées un grand nombre  de personnes.
 * Réflexion personnelle

VLes pandémies du XXème  siècle

Le 20ème siècle a été marqué par trois grandes pandémies :
  • La grippe espagnole en 1918-1919 (50 – 100 millions de morts)
  • La grippe asiatique en 1957 (2 millions de morts)
  • La grippe de Hong-Kong en 1968 (4 millions de morts)

VIPourquoi je fais cette comparaison entre la  grippe dite espagnole et covid-19

La raison est simple, cela fait exactement 100 ans que le monde a connu la pandémie la plus meurtrière du 20ème siècle et la première pandémie du 21ème siècle.
Espérons qu’elle ne sera pas aussi meurtrière.

VIILa chloroquine vs covid-19

La chloroquine est un dérivé de la nivaquine, qui elle-même est un dérivé de la quinine.
Pendant la pandémie de la grippe « dite » espagnole, la quinine a été prescrite comme traitement au virus et associé à l’aspirine.
Le but était de réduire la charge virale, en abaissant la fièvre (principe du traitement du paludisme).

VIII –  La prophylaxie collective et individuelle ou les gestes barrières

Les gestes barrières annoncées à grands tapages médiatiques pour le covid-19,  existaient déjà lors de la grippe dite « espagnole » et cela date de  100 ans.
Pour mémoire, je voudrais vous les rappeler :
  • La distanciation sociale qui était la seule efficace avant le vaccin
  • La mise en quarantaine
  • Le port des masques(Afin de limiter la diffusion du virus)
    Ou en cas de non disposition de masque, mettre juste une une simple compresse hydrophile trempée dans l’eau bouillie, posée sur le nez et la bouche et attachée par-dessus les oreilles avec un cordonnet
  • Le lavage des mains
  • Se rincer la bouche régulièrement
  • Se nettoyer les dents après chaque repas
  • Se faire des gargarismes matin et soir avec de l’eau oxygénée ou de l’eau dentifrice
  • Se faire des aspirations nasales d’eau chaude additionnée d’eau de javel
  • Éviter le refroidissement
  • Isolation des malades ou hospitalisationSi un cas se déclare dans une famille, on conseille d’isoler immédiatement le malade et, si le logement est trop étroit, de le faire hospitaliser.
  • Désinfection générale
  • Habitation
  • Vêtements
  • Le balayage des rues et lieux publics à sec est déconseillé
  • Se moucher, éternuer et tousser dans des compresses qui seront jetées dans un récipient d’eau formolée.
  • On recommande d’éviter les réunions de personnes nombreuses aussi bien en plein air que dans des lieux fermés comme les lieux consacrés aux cultes, les théâtres, les cinémas, les grands magasins, le chemin de fer
  • Fermeture d’écoles
  • Recommandation à prendre de la quinine et de l’aspirine
  • Les médecins (impuissant devant l’ampleur de la pandémie), conseille la prise d’alcool (le whisky, le gin, le brandy, ou le rhum), pensant faire reculer la maladie, ce qui a entraîné une population alcoolique, donc diminuée sur le point immunitaire.

IXConclusion – Point de vue

Comme pour la pandémie de la grippe dite espagnole qui s’est arrêté spontanément, la pandémie covid-19 s’arrêtera d’elle-même, c’est généralement le cas des épidémies, qu’elles soient bactériennes ou virales.

XQuelques liens pour mieux approfondir le sujet




XI – Quelques lectures conseillées


SARS-CoV-2 vs enfant
Enfant vs vascularite (maladie de Kawasaki)


Covid – 19 et les personnes à risques


COVID 19
LE PRINCIPAL, C’EST L’ESSENTIEL


LE STRESS PSYCHOSOCIAL OU DÉTRESSE ÉMOTIONNELLE


Pr. Salim Djelouat
Pr. en analyses médicales et Bioclinicien
Expert médicale certifié en médecine, santé et bien-être
Psychothérapeute
Auteur scientifique, conférencier
Webmaster et blogueur



TÉLÉCHARGER VOTRE ARTICLE EN VERSION PDF


Covid-19 et différentes vagues – point de vu

SARS-CoV-2 vs enfant Enfant vs vascularite (maladie de Kawasaki)

SARS-CoV-2 vs enfant
Enfant vs vascularite (maladie de Kawasaki)


Pr. Salim Djelouat
Pr. en analyses médicales et Bio clinicien

Sommaire détaillé

I – Est-ce qu’il existe une relation entre covid-19 et l’apparition soudaine de vascularite chez certains de ces jeunes enfants testés positifs au SARS-CoV-2 ??
II – Rappel sur la maladie de Kawasaki
III – Étiologie
IV – Évolution
V – Symptomatologie
1 – Au 1er palier
2 – Au 2ème palier 
3 – Au 3ème palier 
VI – Comment poser le diagnostic ? 
1 – Diagnostic de 1ère intention
2 – Diagnostic de 2ème intention
2.1 – Facteur Rhumatoïde (FR)
2.2 – Anticorps anti-CCP – anti-peptides cycliques citrullinés
2.3 – Anticorps  antinucléaires (AAN)
2.4 – C Réactive Protéine (CRP)
2.5 – Vitesse de Sédimentation (VS)
2.6 – Numération et Formule Sanguine (NFS)
2.7 – Albumine
2.8 – Les enzymes hépatiques
2.9 – Recherche microbiologique
VII – Diagnostic différentiel entre
VIII – Traitement
IX – Maladie de Kawasaki et vaccins
X – Regard sur la vascularite
XI – Notre point de vu
XII – Conclusion
XIII – Références bibliographiques
XIV – Lectures recommandées
XV – Quelques vidéos pour se faire une idée

I – Est-ce qu’il existe une relation entre covid-19 et l’apparition soudaine
de vascularite chez certains de ces jeunes enfants testés positifs au SARS-CoV-2 ??


Il a été rapporté au Royaume-Uni, l’apparition de symptômes, suggérant une forme atypique d’une pathologie infantile « rare », mais connue sous le  nom de la maladie de Kawasaki.
Le National Heath Service, NHS (Agence de Santé du pays), rapporte alors une douzaine d’enfants hospitalisés, dans un état grave.
Ces jeunes patients présentent une forte fièvre, une inflammation des artères : des symptômes identiques à la maladie de Kawasaki.
Certains de ces enfants ont été testés positifs au covid-19.
L’apparition de ce type de  pathologie a été aussi signalée en France, Espagne, Italie, Belgique, États-Unis et même en Australie.
Néanmoins en France et ce depuis un mois, des réanimateurs pour les enfants, ont signalés un tableau clinique de myocardite et avec des signes de la maladie de Kawasaki.
Il reste cependant que ce lien n’est à ce jour pas encore confirmé, ni infirmé.

II – Rappel sur la maladie de Kawasaki


La maladie de Kawasaki est une vascularité (voir plus bas), caractérisée par une inflammation généralisée des parois des vaisseaux sanguins dans tout le corps.
Elle est liée à un dysfonctionnement immunitaire.
Elle est classée dans les maladies dites « rares » ou étudiée telle qu’elle.

III – Étiologie


Ce qu’il faut savoir, c’est que cette maladie est soit d’origine infectieuse (virale), soit due à une réaction immunologique « rare »,  d’apparition chez des enfants génétiquement prédisposés.
On parle aussi d’une possible maladie auto-immune.
Les enfants d’origine japonaise ont une incidence assez élevée, d’où le nom de « Kawasaki », mais elle est présente dans le monde entier.
Elle touche en particulier les enfants de moins de 6 ans, avec un pic de 18 à  24 mois.
Elle reste rare, voire très rare chez les nourrissons de moins de 4 mois, les adolescents et les adultes.
Elles touchent beaucoup plus les garçons que les filles.
La maladie de Kawasaki, reste une maladie saisonnière (hiver ou printemps), mais peu apparaître au courant de toute l’année.
Il existe une immunité, mais on a noté que 2% des patients ont eu des récidives (plusieurs mois ou années plus tard).

 IV – Évolution


Son évolution est lente et se fait par paliers de 4 à 5 jours, voire 1 semaine.

V – Symptomatologie 


1 – Au 1er palier
  • Une très forte fièvre (supérieur à 39° C), accompagnée
  • D’une irritabilité
  • Léthargie (qui reste occasionnelle)
  • Coliques abdominales
Au bout de 2 jours apparait :
  • Conjonctivite (une injection conjonctivale bulbaire bilatérale apparaît sans exsudat)
 2 – Au 2ème palier :
On note l’apparition : 
  • Un exanthème
Des tâches rouges disséminées sur le tronc et les muqueuses (bouche et au niveau de l’appareil génital).
Cet exanthème peut devenir une source d’erreurs dans le diagnostic et oriente soit vers :
  • Une urticaire
  • Une rougeole
  • Voire une scarlatine
3 – Au 3ème palier :
  • Adénopathie cervicale
  • Altération de la muqueuse buccale (irritation, inflammation : langue, lèvres, gorge)
  • Gonflement des mains et des pieds
  • Trouble du rythme cardiaque (tachycardie)
En cas de non traitement, la maladie peut entraîner :
  • Des complications cardiaques : péricarde, myocarde, endocarde et les artères coronaires
  • Un infarctus du myocarde
  • Mort subite



VI – Comment poser le diagnostic ? 


1 – Diagnostic de 1ère intention
1.1 – En cette période de pandémie, établir un lien vers une éventuelle contamination par  covid-19
1.2 – Établir le diagnostic à partir des critères cliniques cités plus haut
1.3 – ECG (trouble du rythme, hypertrophie ventriculaire gauche…)
1.4 – Échocardiographies (anévrisme des artères coronaires, insuffisance valvulaire, péricardite, myocardite…)
1-5 –  Radiologie du thorax
1.6 – Coronarographie (en cas d’anévrisme)
2 – Diagnostic de 2ème intention
Repose sur des examens complémentaires pour écarter d’autres troubles.
Les examens sont donnés par ordre de priorité de recherche.
2.1 – Facteur Rhumatoïde (FR)
Pourquoi ?
Comme on l’a déjà dit, qu’il est possible que la maladie de Kawasaki soit une maladie-auto immune.
Le facteur rhumatoïde reste une expression de nature auto-immune.
2.2 – Anticorps anti-CCP – anti-peptides cycliques citrullinés
Autres classes d’auto-anticorps.
Ceux sont des auto-anticorps de développement récent.
Ils sont plus spécifiques que le Facteur Rhumatoïde et apparaissent « précocement)
2.3 – Anticorps  antinucléaires (AAN)
La maladie de Kawasaki, possède une probabilité de maladie « auto-immune » et peut se traduire par la production d’anticorps anormaux, appelés auto-anticorps.
Les auto-anticorps comme leur nom le suggèrent, sont dirigés contre les constituants de nos propres cellules.
Dans ce cas précis, les auto-anticorps s’attaquent aux cellules localisées dans le noyau, d’où leur nom (antinucléaire).
2.4 – C Réactive Protéine (CRP)
Comme son nom l’indique, c’est une protéine synthétisée principalement  par le foie, aussi être synthétisée par le tissu adipeux.
Elle apparait au cours d’une inflammation aiguë dans l’organisme.
C’est un marqueur stable pour suivre l’évolution d’une inflammation : elle augmente rapidement avec l’inflammation et baisse rapidement quand l’inflammation est soignée.
Elle reste un bon marqueur biologique et apparait dans tous les processus inflammatoires.
Elle joue un rôle important dans la réponse immunitaire, soit par mobilisation, soit par l’activation des leucocytes (les Globules Blancs).
Elle stimule la phagocytose, processus bien connue pour la destruction des agents pathogènes.
Le taux de CRP est élevé en cas de :
  • Les infections bactériennes (néonatales et post-chirurgicales)
  • Les parasitoses et mycoses profondes
  • Les infections virales chroniques (VIH, hépatites B et C)
  • Les néoplasies (cancer profond ou avec métastases, lymphome hodgkinien et non hodgkinien, leucémies)
  • Les pathologies systémiques et rhumatismales (polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, vascularite, maladie de Horton, maladie de Wegener, myosite, maladie de Still, lupus érythémateux)
  • Les pathologies digestives (maladie de Crohn)
  • Les nécroses ischémiques (infarctus)
  • Les traumatismes (chirurgie, brûlures)
2.5 – Vitesse de Sédimentation (VS)
La vitesse de sédimentation (VS), est une mesure non spécifique de l’inflammation, utilisée fréquemment comme test médical d’orientation.
La vitesse de sédimentation est la distance parcourue en 01 heure (la 2ème heure est peu informative), par les hématies qui vont sédimenter sous l’action de la gravité.
La vitesse de sédimentation va dépendre donc du degré d’agrégation de ces hématies.
La vitesse de sédimentation reste un examen sensible, mais peu spécifique.
Dans la maladie de Kawasaki, elle reste élevée.
2.6 – Numération et Formule Sanguine (NFS)
La numération et formule sanguine est un examen essentiel afin d’apprécier un dysfonctionnement de la moelle osseuse ou surtout des perturbations périphériques : anémies, polyglobulie, leucocytose, problème de coagulation lié à une consommation des plaquettes…
On note dans la maladie de Kawasaki :
  • Leucocytoses, marquée par la présence de cellules immatures 
  • Thrombocytose
  • Anémie normocytaire, qui reste modérée
2.7 – Albumine
L’albumine est une protéine « négative » de l’inflammation, cela veut dire qu’un état inflammatoire, va abaisser sa synthèse.
Donc elle reste intéressant à doser pour suivre l’état d’une inflammation.
Il serait intéressant de l’associer aux dosages des protéines totales.
2.8 – Les enzymes hépatiques
Les principales enzymes hépatiques à  apprécier sont :
  • L’alanine amino transférase (ALAT ou GPT)
  • L’aspartate amino transférase (ASAT ou GOT)
  • La gamma-glutamyl transférase (γgt)
  • La phosphatase alcaline (PAL)
On pourra leur associer :
  • Le dosage de la bilirubine
  • Le taux de prothrombine
2.9 – Recherche microbiologique
  • Prélèvement de gorge
  • Des hémocultures
  • Un examen cytobactériologique des urines (ECBU)

VII – Diagnostic différentiel entre :


  • Maladies éruptives : rougeole, scarlatine
  • Éventuellement une allergie médicamenteuse
  • Arthrite juvénile idiopathique (groupe de maladies rhumatismales rencontrées chez les enfants de moins de 16 ans)
  • Autres maladies infectieuses

VIII – Traitement – Prise en charge


En milieu hospitalier et avec une équipe pluridisciplinaire (cardiologue, pédiatre, rhumatologue pédiatrique et un spécialiste en maladie infectieuse).
Il consiste à donner en première intention des  doses élevées d’immunoglobulines IV (IgIV) et en phase aiguë, ajouter de l’aspirine à forte dose par la suite.
Des anticoagulants sont parfois nécessaires (en fonction de l’évolution).
L’emploi des corticoïdes reste déconseillé, mais certains médecins l’utilisent ?
Dans les cas graves, très graves ont peut recourir à la chirurgie cardiaque.
Important
Un traitement institué précocement permet de de réduire nettement le risque de séquelles cardiaques et donc l’apparition d’anévrismes coronariens et d’infarctus.

IX – Maladie de Kawasaki et vaccins


La vaccination anti-rubéole et oreillons doit être reportées à 11 mois ;
En ce qui concerne la rougeole et en cas d’un risque d’exposition, la vaccination doit-être poursuivie.

X – Regard sur la vascularite


Comme son nom l’indique, la vascularite est une inflammation des vaisseaux sanguins.
De tous les vaisseaux sanguins (artères, artérioles, veines, veinules ou capillaires).
Cette inflammation des vaisseaux peut s’accompagner, d’ischémie et de nécrose).
Il existe deux types de vascularite :
La primitive et la secondaire.
La vascularité primaire, n’a pas de cause connue.
La vascularité secondaire, peut être causée par une infection, une intoxication médicamenteuse, par des toxines (bactériennes, parasitaires ou autres).

XI – Notre point de vu


PAS DE PANIQUE

Maladie rare, puisque, elle n’affecte qu’une personne sur 2000 (1/2000).
Prédispositions génétiques.
Peut-être due à une infection virale (covid-19 ???).
La plupart des enfants ayant développés la maladie de kawasaki ont été testés positif au covid-19 (donc pas tous) –
La vaccination à la rougeole peut-être poursuivie ?
Dans notre précédent article « l’important, c’est l’essentiel », nous avons essayé d’établir un lien « pourquoi les enfants ne développent pas la maladie au covid-19, et  nous avons dit, peut-être que c’est du à la vaccination à la rougeole, car il y similitude dans le pouvoir pathogène du virus de la rougeole et covid-19.
Une vaccination massive à la rougeole pourra freiner la maladie au covid-19.
Cette piste de recherche devra être développée.

XII – Conclusion


SARS-CoV-2, ne peut développer la maladie de Kawasaki chez les enfants, qu’en terrain prédisposé.
En cas d’un  (ou de) déséquilibre immunologique (anomalie immunologique).
Elle peut aussi être due à des prédispositions familiales (des cas de la maladie de Kawasaki ont été rapportés chez des membres d’une même famille – fratrie-).
Elle peut aussi être déclenchée sur des terrains prédisposés par un super antigène lors d’une infection virale ou même bactérienne.
Dans notre cas, covid-19 peut-être un déclencheur de la maladie de Kawasaki (mais sur des terrains prédisposés).
Des recherches devront être menées afin d’établir un lien ou non entre l’apparition de la maladie de Kawasaki et le SARS-Cov-2.

XIII – Références bibliographiques



XIV – Lectures recommandées 



XV – Documents à télécharger pour le corps médical et para-médical



Quelques vidéos à voir et à se faire une idée







Pr. Salim Djelouat
Pr. en analyses médicales et Bio clinicien
Expert médicale certifié en médecine, santé et bien-être
Psychothérapeute
Auteur scientifique, conférencier
Webmaster et blogueur

Covid - 19 et les personnes à risques






Toute la population mondiale est à risque, mais certains profils sont beaucoup plus à risque que d’autres.
Avant de parler des pathologies (en réalité les citer seulement) qui pourront influencer l’infection par covid 19,  et être un facteur de complications graves voire de morbidité, je voudrais me penche sur certains profils qui eux aussi  sont responsable de la gravité de la maladie et de la morbidité.

Pr. Salim Djelouat
Expert médicale certifié en médecine, santé et bien-être

Le microbe n’est rien. Le terrain est tout.
Louis Pasteur


Sommaire
I – Les principaux profils (surement il existe d’autres)
II –  Les principales pathologies pouvant entraîner des complications graves sur la santé, voire
III –  Autres cas pouvant entraîner des complications graves sur la santé

I – Les principaux profils (surement il existe d’autres) sont :


1 –  Le tabac, tabagisme et produits inhalés

On sait que le tabac endommage et même paralyse les cils des voies respiratoires, dont leur mouvement permet d’éliminer, les poussières, les microbes et le mucus.
Le tabac va donc empêcher l’organisme de se protéger contre les infections « pulmonaires ».
On sait que le tabac à lui seul est responsable dans le monde,  de plus de 7 millions de décès par an.
Le tabagisme à lui seul et la cause de 16 types de cancers différents.
Il est responsable de plus de 20 maladies chroniques.
Il est aussi responsable de troubles psychologiques : anxiété, dépression, nervosité.
Ces troubles psychologiques peuvent être une des causes de la sévérité dans le covid 19.
À cela,  il ne faut pas oublier les produits inhalés (cannabis, coca, krach…) qui sont responsables de problèmes pulmonaires, cardiaques, hépatiques, rénales…

2 – L’alcool et les alcooliques

La consommation d’alcool à long terme est un facteur aggravant sur la santé et c’est un facteur influençant la contamination par covid 19 et peut entraîner des complications graves, voire la mort.
On sait que l’alcool peut-être responsable de cancers, de problèmes cardiaques, hépatiques…
Pour rappel que 2 à  3  % de l’alcool  bu  sont éliminés  par les poumons (ce qui rend les poumons fragiles) et de ce fait , l’infection par covid est facilitée (voire booster).

3 – La drogue et les drogués ?

Les psychotropes, souvent prescrits par des médecins, mais malheureusement circulent sous le manteau.
Les psychotropes restent dangereux et peuvent entraîner des accidents vasculaires, de l’infarctus, des problèmes pulmonaires, hépatiques et rénaux.
Ils peuvent de ce fait être responsable de la propagation du covid 19 et entraîner des états graves ou de la morbidité.

4 – L’obésité 

On en parle peu ou pas du tout, car on se fie aux études chinoises.
On sait que les chinois ne sont pas obèses et de ce fait, aucune relation n’a été établie.
Malheureusement ce qui se passe actuellement aux États-Unis et connaissant la mal bouffe qui est présente et une population à forte densité de masse corporelle, j’en ai fait un rapprochement avec covid 19 et le taux  élevé de cas.Modern Family
Certes l’obésité n’est pas la seule responsable de ce taux élevé de cas.
On sait que l’obésité (la charge pondérale), fragilise le système immunitaire, rendant le corps humain sensible aux infections bactériennes, virales ou parasitaires.
On sait aussi que l’obésité s’accompagne de pathologies aggravantes, tels que les pathologies cardiovasculaires, le diabète, les problèmes pulmonaires (détresse respiratoire à la moindre infection)…
En France, beaucoup de jeunes obèses se retrouvent en réanimation et ce suite à l’infection par covid 19.

5 – La maigreur

Je parle de la dénutrition ou de la maigreur dont l’origine est soit une maladie ou  un mauvais métabolisme.la maigreur
La maigreur peut être liée à une propagation du covid 19, chez ce  type de personnes.
La maigreur peut être responsable d’insuffisance cardiaque, pulmonaire, rénale.
La maigreur est responsable d’un problème d’immunité, donc une impossibilité à lutter efficacement contre les microbes.
Il a été aussi rapporté que la maigreur joue mal dans la thermorégulation de la température.
Effectivement les personnes maigres brûlent davantage de calories pour maintenir leur température, d’où amaigrissement plus prononcé.
Attention la maigreur peut-être un signe d’une maladie cachée.

6 – L’âge

L’âge n’a aucune influence sur la maladie au covid 19, si la personne est en bonne santé, aucune maladie métabolique connue (ou bien prise en charge), aucun facteur de risque (tabac, alcool…), une alimentation adéquate…
N’empêche que les personnes d’un âge avancé doivent respecter les mesures barrières.

7 – Les facteurs génétiques

On soupçonne des facteurs génétiques qui peuvent influencer la contamination et les complications, mais actuellement aucune preuve scientifique n’est établie.
Ce qui a été rapporté : certaines personnes atteintes par le covid-19 ne ressentent aucun symptôme décrit.téléchargé
Alors que d’autres personnes atteintes n’ont aucun antécédent connu de santé.
En ce qui concerne le sexe, le nombre de contamination semble identique, seul le nombre de décès est plus élevé chez les hommes.
Cela peut s’expliquer par le chromosome X.
De nombreux gènes liés à l’immunité se trouvent dans le chromosome X.
Les hommes possèdent un seul chromosome X, alors que les femmes en possèdent 2.
On parle des personnes du groupe Sanguin O, qui sont  les moins touchées par le covid 19, par opposition aux personnes du groupe A, qui sont les plus touchés (d’après une étude chinoise…).


II –  Les principales pathologies pouvant entraîner des complications graves sur la santé, voire la morbidité (ou les personnes les plus vulnérables)


1 – Toutes les personnes atteintes de maladies  respiratoires  chroniques et plus particulièrement les atteintes respiratoires avec une possibilité de décomposer lors d’une infection virale.

2 – Asthme

3 – Mucoviscidose

4 – Déficit immunitaire

5 – Cytopénies chroniques, insuffisances médullaires…

6 – Infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et toutes infections  virales

7 – Diabète  (tout type) et plus particulièrement le diabète non équilibré et diabète avec complications secondaires (micro ou macro angiopathie).

8 – Hypertension artérielle mal prise en charge et non-respect de l’hygiène alimentaire

9 – Maladies métaboliques héréditaires (sous traitement)

10 – Affection maligne des tissus lymphatiques, hématopoïétiques…

11 – Tumeurs malignes

12 – Cancer sous traitement

13 – Personnes ayant subi des transplantations d’organes ou par cellules souches hématopoïétiques

14 – Pathologies cardiaques :
  • Insuffisance cardiaque grave
  • Cardiopathies valvulaires graves
  • Cardiopathies congénitales graves
  • Artériopathies chroniques avec manifestations ischémiques
  • Coronaropathie
  • Vascularites
  • Chirurgie cardiaque

15 – Pathologies hépatiques :
  • Maladies chroniques actives du foie
  • Cirrhoses

16 – Pathologies rénales :
  • Néphropathie chronique grave
  • Syndrome néphrotique primitif
  • Insuffisance rénale chronique dialysée

17 – Les personnes avec un traitement médicamenteux 
  • Chimiothérapie anti cancéreuse et cancer métastasé
  • Biothérapie et/ou une corticothérapie à dose immunosuppressive
  • Personnes atteintes de maladies inflammatoires et/ou auto-immunes recevant un traitement immunosuppresseur,

18 – Personnes avec antécédents d’accident vasculaire cérébral

19 – Pathologies diverses 
  • Lupus érythémateux systémique
  • Sclérodermie systémique
  • Sclérose en plaques
  • Spondylarthrite grave
  • Polyarthrite rhumatoïde évolutive
  • Rectocolite hémorragique et maladie de Crohn évolutives

20 – La rhinite allergique 
Nous sommes en pleine période de la saison de la rhinite allergique, donc attention aux personnes qui font des rhinites allergiques, de ne pas être au contact du covid 19.
Éviter par tous les moyens ce contact.


III –  Autres cas pouvant entraîner des complications graves sur la santé


1 – Femme enceinte au 3ème trimestre de la grossesse (contamination, sans morbidité -) et pas de transmission au fœtus.

2 – Enfants et bébés
  • Enfants moins de 10 et plus de 10 ans représentent 1% des cas (étude chinoise)
  • Bébés : aucune forme sévère n’a été rapportée (étude française), mais ils restent des porteurs du virus et vecteurs de la maladie.


IV – Rappel sur les mesures de prévention


À toutes ses personnes qui présentent « une susceptibilité au covid 19 » d’éviter tout contact avec des personnes, même si elles ne présentent pas de signes évocateurs.
Les principales mesures de prévention (pour rappel) sont :

1 – Le confinement
Le virus ne vient pas chez vous, c’est vous qui allez le chercher.
Donc évitez-le en restant à la maison, surtout si vous n’avez aucune urgence à sortir.

2 – Le port d’un masque
C’est une nécessité pour toutes les personnes ayant des pathologies citées.
Dans le cas où le masque n’est pas disponible, un tissu, un cache-nez, une écharpe, un foulard, feront l’affaire, dans le cas d’un déplacement urgent à l’extérieur de la maison.
Évitez les foules

3 – Point de place aux bonnes manières (bons gestes de l’amitié)
  • Ne pas serrer les mains
  • Éviter les embrassades
  • Se tenir à une distance assez respectable (1.5 mètre sans symptomatologie)

4 – Lavage des mains
Geste routinier
Ne pas oublier d’utiliser les gels hydro-alcooliques ou des solutions liquides

5 – Le traitement
Il ne pourra être discuté qu’avec votre médecin.
Continuez à prendre votre traitement  et respectez votre hygiène alimentaire et toutes les recommandations concernant votre bien santé.


Recommandation :
Je vous recommande de lire mon article sur le Covid-19 – Le principal, c’est l’essentiel, soir sur Word press (cliquez sur le texte)
COVID 19 LE PRINCIPAL, C’EST L’ESSENTIEL
ou sur le site de l’institut arabe à Paris en cliquant sur le lien :
https://www.facebook.com/institutdumondearabe/posts/3441250769235195


Évitez la propagation du virus en restant chez-vous ou quand vous sortez porter un masque et  respecter les gestes barrières.

Cette pandémie partira d’elle-même



Pr. Salim Djelouat
Pr. en analyses médicales et Bioclinicien
Expert médicale certifié en médecine, santé et bien-être
Psychothérapeute
Auteur scientifique, conférencier
Webmaster et blogueur

COVID 19 - LE PRINCIPAL, C’EST L’ESSENTIEL

Le virus identifié en Chine est un nouveau Coronavirus « humanisé ».
Il a été dénommé :
  • 2019-nCoV
  • SARS Cov 2
  • Coronavirus de Wuhan
  • COVID-19 (pour Corona Virus Disease 2019).


Le microbe n’est rien. Le terrain est tout.
Louis Pasteur


covid 19 - le principal c'est l'essentiel


Sommaire

I –  Du temps d’incubation à la maladie (1 mois)
II – Au sujet de sa propagation ?
Chez l’enfant ?
III –  Les signes cliniques
IV – Au sujet de sa transmission (directe et indirecte)
1 – La voix aéroportée
2 – Les yeux
3 – Les mains
4 – Les vêtements
V – Les moyens de prévention
1 – Les mesures dites « barrières »
1.1 – Le lavage des mains
1.2 – Les gels hydro alcooliques
1.3 – Les déodorants « alcooliques » et les parfums
1.4 – Mouchoirs jetables
2 – Point de place aux bonnes manières (bons gestes de l’amitié)
VI – Alimentation et aliments conseillés
1 – Une alimentation hivernale et  à conseiller.
2 – Quels aliments à conseiller
2.1 – L’ail –
2.2 – Le piment fort (harissa)
2.3 – Les œufs
2.4 – Le beurre –
2.5 – Le gingembre –
2.6 – Le thym –
2.7 – Le romarin –
2.8 – Haricots secs et pois chiches –
2.9 – Les fruits et légumes verts
2.10 – Les fruits secs (cacahuètes, noix, pistaches…)
2.11 – Sardines à l’huile
2.12 – Les aliments riches en vitamines C et D
2.12.1 – Les principaux aliments riches en vitamines D
2.12.2 – Les principaux aliments riches en vitamines C
3 – Supplémentation vitaminique
3.1 – La vitamine C
3.2 – La vitamine D
VII – Autres mesures
1 – Bonbons –
2 – L’eau –
VIII – En ce qui concerne la fièvre ??
IX – En ce qui concerne la prise de médicaments en cas de pathologies chroniques ?
X – COVID 19 et diabète
XI – COVID 19 – grossesse et allaitement maternel
1 – Grossesse
1.1 – Bon à connaitre
1.2 – Pour quelles mesures de prévention ?
2 – L’allaitement
XII – COVID 19 – Et les asthmatiques
XIII – Ce qu’il faut retenir
Parenthèses !!!
1 – Pourquoi j’ai parlé d’une similitude probable du virus de la rougeole ?
2 – Au sujet du confinement ?
3 – Au sujet du traitement qui porte débat ?
Pourquoi la chloroquine et l’azithromycine ?


I –  Du temps d’incubation à la maladie (1 mois)
C’est le temps ou la durée entre l’exposition (contamination) par le virus jusqu’à la manifestation des premiers signes (ou symptômes) de la maladie.
Ce temps d’incubation est variable et peut aller dans la  majorité des cas entre 3 et 5 jours, comme il peut durer dans des cas vraiment extrêmes ou exceptionnels de 12 à 14 jours (c’est ce qu’on voit actuellement avec le covid 19).
Ce temps que je viens d’écrire, ne représente que la première partie de la maladie.
4  à  5 jours  après le temps d’incubation,  (ce qui représente la deuxième partie de la maladie), les symptômes vont se déclenchés.
Cette deuxième partie  de la maladie, dure en moyenne entre 10 à 12 jours.
Au bout de cette deuxième partie, la maladie pourra être disparue et la personne est guérie (malheureusement il n’existe aucun test pour prouver la guérison).
On note donc, que depuis la  pénétration à la déclaration de la maladie, il s’est écoulé 30 jours.
Donc les confinements doivent s’étaler au-delà de 30 jours pour une meilleure prévention.

II – Au sujet de sa propagation ?
Ce qu’il faut savoir, c’est que ce virus se propage d’une personne n’ayant aucun signe de la maladie à d’autres personnes et ce contrairement aux autres virus « grippaux ».
Explication :
Si une personne héberge ce virus,  cette personne ne va présenter aucun signe de la maladie.
Donc cette personne pendant cette phase qu’on appelle « incubation », va transmettre le virus à X personnes.
Ce X personnes, va transmettre à son tour ce virus à X autres personnes.
D’où la propagation de la contamination, de la maladie.
Heureusement que toutes les personnes qui ont été contaminées par ce virus ne vont pas développer la maladie.
Chez les personnes immunodéprimés et ayant des pathologies pulmonaires, cardiaques et autres, ce virus peut devenir dangereux si la prise en charge n’a pas été faites le plus rapidement possible.
Chez l’enfant ?
L’enfant reste un porteur sain du virus, de ce fait il peut transmettre le virus à son entourage.
Donc des précautions « plus sévères » doivent être prises au niveau de l’enfant.
Surtout si un doute persiste, ne pas laisser l’enfant en contact avec des personnes ayant des pathologies chroniques.
Une question devra cependant être posée : Pourquoi les enfants ne sont pas malades par ce coronavirus ?
D’après mon avis : ceux les différentes vaccinations et rappels qui font que l’enfant semble protégé contre le covid-19.
Personnellement je pense à la vaccination anti-rougeole et à la dernière épidémie de rougeole.
Reste à démontrer
Important :
Un étude chinoise, vient de démontrer que certains enfants peuvent tomber malade du coronavirus.
Donc prendre toutes les précautions pour éviter aux enfants d’être en contact avec covid19.

III – Les signes cliniques 
Les signes cliniques   les plus courants de la maladie sont
  • Une fièvre supérieure à 38 °C
  • Une toux
  • Frissons
  • Céphalées
  • Une fatigue inhabituelle
  • Une myalgie
  • Dyspnée
  • Pneumonie bilatérale
  • Dans les cas graves, la mort (malheureusement)
À connaitre :
Sur la plus importante enquête menée en Chine depuis le début de l’épidémie, il en ressort que la maladie est :
  • Bénigne dans 80,9% des cas
  • Grave dans 13,8% des cas
  • Critique dans 4,7% des cas

IV – Au sujet de sa transmission (directe et indirecte)
1La voix aéroportée
La voie la plus principale et la plus essentielle reste la voix aéroportée (nez, bouche).
Le virus va se transmettre par les gouttelettes de  Pflügge.
Ce qu’il faut savoir :
Les gouttelettes de  Pflügge  peuvent voyager dans un endroit confiné jusqu’à 3 mètres après une toux ou un éternuement.
En extérieur, ces gouttelettes peuvent parcourir jusqu’à 10 mètres.
Tousser au creux du coude reste une mesure hypothétique, car si on se croise les bras, on aura transporté le virus sur ses mains.
La meilleure recommandation et celle de tousser ou éternuer dans des mouchoirs jetables ou dans des lingettes humides.
Important :
J’entends dire que les gouttelettes et les virus sont lourds et tombent rapidement sur le sol ?
Le problème n’est pas là, mais c’est la vitesse de leur expulsion qui les rendent contaminantes.
2 Les yeux
J’ai lu quelque part qu’il peut y avoir une transmission par les yeux.
Aberration,  car les larmes des yeux contiennent des lysozymes qui détruisent tant les bactéries, que les virus.
Néanmoins un port des lunettes de protection reste recommandé chez les personnes en contact direct avec des malades « confirmés ».
3Les mains 
La grippe n’est pas une maladie des mains sales (comme le choléra, la dysenterie…).
Il reste cependant, que les mains peuvent être souillées par des virus, lors des différents contacts.
L’hygiène des mains reste un moyen de protection (on sait que le virus peut vivre pendant 3 heures et plus sur des objets souillés).
Je conseille d’utiliser des solutions hydro-alcooliques en vaporisateur en plus du lavage des mains classiques (eau et savon)
Quelques temps de survie du virus (donnés à titre d’information) – d’après une étude américaine et publiée dans le mardi 17 mars dans le New England Journal of Medecine
  • 24 h 00 sur du carton
  • 4 h 00 sur du cuivre
  • 3 jours sur du plastique
  • 2 jours sur de l’acier inoxydable
4Le visage
Le visage reste une partie qui peut être contaminée, soit par les gouttes de Pflügge soit par les mains souillées.
Là aussi, il faut se laver le visage et l’essuyer avec des lingettes spécialement fabriquées.
5Les vêtements
Les vêtements peuvent cachés ou abrités  le virus, qui peut vivre entre environ 6 h à 12 h.
Pour les vêtements faciles à laver,  ils le seront.
Pour les autres, soit les exposer au soleil, soit les asperger par des solutions liquides de produits désinfectants.
6Le téléphone portable
En cette période de pandémie, le téléphone portable est l’appareil le plus utilisé.
Il nous sert à demander des informations et prendre des nouvelles des personnes que nous connaissons (famille, amis…).
Il devra être nettoyé aussi souvent que possible, en tout cas avant de se laver ses mains.

V – Les moyens de prévention
1Les mesures dites « barrières »
Elles restent « hypothétiques », tant que les déplacements, les regroupements de personnes n’ont pas été régulés, voire interdits.
Les principales mesures barrières sont :
1.2Le lavage des mains
Je lis et j’entends qu’il faut  se lave toutes les heures avec du savon et de l’eau.
Comment allons-nous trouver du savon, alors qu’on sait que l’eau est rationnée dans certaines régions, villes et quartiers.
Le lavage des mains reste une barrière contre les microbes, les virus et les parasites.
Néanmoins se laver les mains est un geste courant de bon sens.
Il serait aussi préférable d’utiliser des solutions en vaporisateur ou des lingettes spécialement fabriquées à cet effet.
1.3Les gels hydro alcooliques 
Ils restent efficaces qu’au moment de leur utilisation.
Au-delà, aucune efficacité, d’où il faut renouveler leur utilisation.
Le meilleur moyen c’est que les autorités désinfectent les moyens de transports, les établissements administratifs….
1.4Les déodorants « alcooliques » et les parfums
D’après moi, seront utilisés comme moyens de prévention et destruction du virus.
1.5Mouchoirs jetables
Ils seront les seuls utilisés pour protéger les autres de votre éternuement ou de votre toux (même si les recommandations, disent « tousser dans le creux du coude).
2Point de place aux bonnes manières (bons gestes de l’amitié)
  • Ne pas serrer les mains
  • Eviter les embrassades
  • Se tenir à une distance assez respectable (1 mètre sans symptomatologie)

 VI – Alimentation et aliments conseillés
1Une alimentation hivernale et  à conseiller.
Cette alimentation doit-être riche en lipides, protéines et en micronutriments pour booster l’immunité.
Les lipoprotéines (sont des éléments essentiels dans l’immunité) et jouent  donc un rôle contre les virus et plus particulièrement les virus grippaux.
Les lipoprotéines vont capter les virus,  les stocker à l’intérieur des cellules et vont les détruire.
2Quels aliments à conseiller :
2.1L’ail 
L’un des meilleurs antiseptiques et antibiotiques naturels.
Le consommer sous toutes  ses formes, moi je le préfère avec de l’huile d’olives.
Une bonne salade de tomates  assaisonnée avec de l’huile  et de l’ail est un bon moyen de protection contre les microbes et les virus.
2.2Le piment fort (harissa)
Qu’on pourra retravailler en lui ajoutant de l’ail.
2.3Les œufs
À consommer sous toutes les formes :
  • En omelette nature
  • Brouillées avec du beurre
  • Crus ou cuits (œufs durs)
2.4Le beurre 
En tartines beurrées de préférence, surtout au petit déjeuner.
2.5 Le gingembre 
En tisane, le soir en allant se coucher.
La meilleure épice pour se réchauffer.
On  peut aussi le saupoudrer sur les aliments
2.6Le thym 
À conseiller en prévision d’un rhume, d’une grippe.
Dans la toux, le thym reste efficace.
Le thym aide aussi à renforcer le système immunitaire.
Une à deux tasses par jour
Le thym pris en quantité excessive, peut fait augmenter la tension artérielle.
2.7Le romarin 
Il reste un anti-infectieux pulmonaire assez intéressant.
Antifatigue
Il aide comme le thym à renforcer le système immunitaire.
Attention, il agit sur la circulation sanguine, donc à prendre des précautions quant à son utilisation (surtout chez la femme enceinte).
2.8Haricots secs et pois chiches 
À consommer avec une bonne sauce rouge et  bien pimentée.
Lui ajouter de l’ail, de l’huile d’olives, de l’oignon et la saupoudre de cannelle ou de gingembre.
2.9Les fruits et légumes verts
2.10Les fruits secs (cacahuètes, noix, pistaches…)
2.11Sardines à l’huile
2.12Les aliments riches en vitamines C et D
2.12.1Les principaux aliments riches en vitamines D sont :
Les sardines à l’huile – Le thon en boîte –  Le chocolat noir –  Le lait (et dérivés) – Les œufs – Les champignons  –
2.12.2Les principaux aliments riches en vitamines C  sont :
Poivron rouge, cru ou cuit -Poivron vert, cru ou cuit – Pois verts crus – Chou-fleur cuit – Cresson – Epinards – Persil
Les agrumes en fruits complets ou en jus – les fraises – Nectar d’abricots
Les céréales (au petit déjeuner)
3Supplémentation vitaminique 
3.1La vitamine C
Reste une vitamine de prévention des maux de l’hiver.
Il serait conseillé de prendre les jus riches en vitamines C.
On pourra aussi prendre 1 comprimé de vitamine C, effervescente après le repas de midi.
3.2La vitamine D
Prescrite surtout pour les populations pauvres en soleil, mais reste aussi conseillée comme un supplément vitaminique.
La vitamine D, aurait semble-t-il une efficacité contre les infections virales.

VII – Autres mesures
1Bonbons 
Avoir sur soi des bonbons à la menthe,  ou des bonbons vitaminés, car il serait préférable d’avoir la bouche mouillée, ce qui permettre dans le cas de la pénétration du virus, que ce dernier sera avaler directement au niveau de l’estomac ou il sera détruit par l’acidité gastrique.
Une bouche sèche, un nez sec sont favorables à la pénétration du virus au niveau des poumons.
2L’eau 
Il reste aussi intéressant de prendre au courant de la journée et à l’extérieur de maison des gorgées d’eau.

VIII – En ce qui concerne la fièvre ??
La fièvre est un moyen de lutte (contre l’envahisseur) qu’utilise le corps humain pour se défendre.
L’abaisser sans connaissance, peut influencer la gravité de l’infection.
Donc il serait préférable de la surveillance que de s’amuser à l’abaisser de la façon la plus anarchique ?
Je parle dans le cas où, il a contamination.
Dans les autres cas, consulter votre médecin.

IX – En ce qui concerne la prise de médicaments en cas de pathologies chroniques ?
A discuter avec son médecin traitant, car certains médicaments peuvent influencer le degré de la gravité de l’infection à coronavirus.
L’aspirine par exemple utilisée à petite dose comme antiagrégant, peut être remplacé par d’autres médicaments n’ayant aucun effet sur la gravité en cas d’infection ou de traitement.

X – COVID 19 et diabète
Il est malheureux de le dire, mais la personne diabétique doit s’attendre à être contaminée, si elle ne prend pas toutes les mesures de prévention citées plus haut.
On sait aussi que la personne diabétique est sensible à plusieurs autres pathologies ou complications du diabète, ce qui fait d’elle une personne à risque majoré.
En plus des mesures de prévention et protection la personne diabétique doit veiller à sa glycémie et d’éviter les fluctuations glycémiques.
On sait que les bactéries et les virus se développent mieux dans un milieu sucré.
Le port du masque est fortement conseillé chez la personne atteinte de diabète.

XI – COVID 19 – grossesse et allaitement maternel
1GrossesseLa grossesse entraîne chez la femme un changement de son potentiel immunitaire, ce qui peut la rendre fragile aux infections et plus spécialement aux infections virales.
Il a été signalé à ce qu’un cas de transmission mère-enfant le 6 février 2020 à
Wuhan.
Heureusement qu’à ce jour, aucune complication spécifique à la grossesse n’a été rapportée, cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas une augmentation des risques pendant la grossesse.
Les risques probables sont :
  • Fausses couches spontanées
  • Retard de croissance intra-utérin
  • Accouchement prématuré
  • Décès maternel
  • Décès néonatal
1.1Bon à connaitre
Il semble qu’il n’y a pas de transmission par voie trans-placentaire, mais plutôt par voie périnatale, soit pendant ou après l’accouchement.
Des études sont en cours  pour mieux cerner et prévenir.
1.2Pour quelles mesures de prévention ?
Les mesures de prévention citées plus haut, doivent être respectées.
La femme enceinte ne doit pas se mélanger à la foule et doit rester à l’écart.
Le port du masque reste obligatoire.
Bien entendu la femme enceinte doit respecter son calendrier de suivi de la grossesse.
2L’allaitement
Vu le bénéfice de l’allaitement, la mère peut continuer à allaiter son enfant, tout en observant et on ne cessera de le dire, les mesures de préventions et de précautions.
Le port du masque reste une mesure de protection essentielle.
Dans le cas où la mère est atteinte du covid 19, elle pourra recourir au tire-lait et continuer ainsi à l’allaiter par son lait.

XII – COVID 19 – Et les asthmatiques
Les personnes asthmatiques ne doivent pas arrêter leur traitement (afin de maintenir un bon contrôle des symptômes).
Un  bon contrôle des symptômes limite les risques de présenter une poussée inflammatoire d’asthme en cas d’infection virale.
Il ne faut surtout pas arrêter la corticothérapie inhalée.
En ce qui concerne les corticoïdes par voie générale, suivre les conseils de son médecin, lui seul jugera quelle dose sera adaptée.
La personne asthmatique, comme toutes les personnes ayant des maladies chroniques, doit bien veiller à ne se contaminer et doit appliquer les gestes barrières que nous avons cités plus haut.

XIII – Ce qu’il faut retenir
  • Eviter tout rassemblement, respecter les consignes de prévention.
  • Les sorties et les déplacements doivent être limités et autorisés que pour le strict minimum.
  • Prenez une alimentation assez riche en lipoprotéines.
  • Booster votre immunité.
  • Soyez respectueux des autres
  • Éternuez ou tousser dans des mouchoirs jetables
  • Prendre au courant de la journée que des boissons chaudes, car on sait que les virus grippaux sont très sensible à la chaleur
  • Dans le cas d’un temps ensoleillé, il faut s’exposer aux rayons solaires (efficace contre les virus)

Parenthèses !!!
1Pourquoi j’ai parlé d’une similitude probable du virus de la rougeole ?
Le virus de la rougeole infecte les cellules immunitaires présentes au niveau des poumons, ce qui va lui permettre de se propager au niveau de l’organisme.
En quittant l’hôte, il va utiliser un autre récepteur, la nectine-4, présente au niveau de la trachée, ce qui va faciliter la contagion par voies aériennes.
Étude réalisée par l’unité Inserm 891 (Centre de recherche en cancérologie de Marseille).
Si covid-19 suit ce même processus, on pourra alors vacciner et revacciner avec le vaccin anti-rougeoleux. ?
Toutes les bonnes idées sont à considérer et à suivre, qui sait.
2Au sujet du confinement ?
Les confinements qui se font actuellement, sont insuffisants pour maîtriser la propagation de la maladie.
Ces  mesures dites de mitigations (le confinement qui se fait actuellement),  sont insuffisantes et ne servent qu’à diminuer la capacité du virus de sauter d’un individu à l’autre (la distanciation sociale).
Les durées du confinement préconisées actuellement restent insuffisantes et ne peuvent en aucun cas arrêter la propagation du virus.
Car il peut y avoir une deuxième ou troisième vague de contamination.
Je pense qu’un confinement de 35 jours minimum est conseillé.
Le meilleur reste un confinement de 40 jours (la quarantaine), mais qui sera appliqué à toute la planète et ce afin de couper court à toute interaction humaine.
Seuls seront autorisés à se mouvoir les personnels d’intérêt général garantissant une vie normale (personnel de santé, électricité eau, gaz, pharmacies, les magasins d’alimentation générale….).
Important :
Si  on reste dans le confinement qui se fait actuellement, on risque d’avoir cette crise qui va durer plusieurs mois…..
3Au sujet du traitement qui porte débat ?
Les chinois ont utilisé la chloroquine pour traiter une certaine partie des malades et parlent d’effets positifs ?
Pourquoi alors ne l’avoir utilisée pour tous les malades ? Question qui est restée sans réponse à ce jour.
La chloroquine est une molécule de synthèse.
Son vrai nom est : “hydroxychloroquine”.
Cette molécule est faite à partir du chlore et de la quinine, qu’on associe à un groupement alcool.
À 2 g par jour la chloroquine est un poison.
Le traitement qui est préconisé, sans citer le ou les noms des initiateurs est une association de chloroquine et de l’azithromycine.
Pourquoi la chloroquine et l’azithromycine ?
– La chloroquine a déjà montrée son efficacité à inhiber la réplication du virus SARS-CoV-2, mais dans des expériences invit (in vitro).
Elle a aussi montré son efficacité sur plusieurs virus, mais toujours en invit (in vitro).
La chloroquine dans le traitement covid-19 n’a pour objectif que d’abaisser la charge virale (ce qui n’est pas déjà mal).
– L’azithromycine, est un antibiotique utilisé dans les infections des voies respiratoires..

Protocole algérien (défini par le ministère de la santé)
dans la prise en charge pour le traitement à la chloroquine :

Pour tous les patients présentant une forme modérée une forme avec pneumonie et /ou une forme sévère suspecte d’une infection COVID-19 ne nécessitant pas l’admission en réanimation. il sera prescrit en l’absence de contre- indications et sous surveillance médicale.
1ère  intention
  • Chloroquine à raison de 500 mg 2 fois par jour pendant 5 à 7 jours
Ou
  • Hydroxychloroquine à raison de 200 mg 3 fois par jour pendant 10 jours
Ou
2ème  intention
Lopinavir / ritonavir (Comprimé 200/50 mg) a raison de 2cp 2 fois par jour en respectant les régies d’utilisation et ce pendant 5 à 7 jours
Ou
Atazanavir 300 mg/jour pendant 2 semaines
Surveillance toutes les 4 à 6 heures (transcription sur une fiche de surveillance des éléments de surveillance) état clinique température fréquences cardiaque et respiratoire pression artérielle SPO2 si des facteurs de risque sont présent l’âge avancé .pathologie chronique   sous-jacentes, Grossesse).
L’évolution vers un cas critique peut survenir.

Important :

D’après les travaux du professeur Didier Raoult,
l’hydroxychloroquine ne peut être efficace qu’avec un antibiotique.

Pour rappel
Il existe 10 virus qui sont impliqués dans les infections respiratoires qui elles entraînent plus de 2.5 millions de décès par ans.


Protéger les autres, c’est vous protégez vous-mêmes,
par le respect des consignes.



Pr. Salim Djelouat
Pr. en analyses médicales et Bioclinicien
Expert médicale certifié en médecine, santé et bien-être
Psychothérapeute
Auteur scientifique
Webmaster et blogueur

Omicron – La nouvelle menace qui va enrichir le Big Pharma et ridiculiser le reste du monde

Omicron – La nouvelle menace qui va enrichir le Big Pharma et ridiculiser le reste du monde